A Bobo Dioulasso, les taxis constituent le moyen de transport par excellence. Cependant ils sont généralement très vieux et usés. Même constat à Ouagadougou, pas de confort, pas de sécurité. A telle enseigne que certains n’hésitent pas à qualifier ces véhicules de « cercueils roulants ». Cette situation est liée à la crise que traverse le pays. Les chauffeurs de taxi n’ont pas de moyens pour s’acheter de nouveaux taxis. Seul le renouvellement du parc automobile permettra aux propriétaires de vieux taxis d’avoir de nouveaux. La question a été évoquée le 2 octobre 2021 lors de la rencontre secteur privé–gouvernement.
Reportage avec Mamadou Ousséni BARRY