Prix PaxSahel 2019: A la découverte de la production du lauréat Souaibou Nombré

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La cérémonie de la 3e édition du Prix PaxSahel s’est tenue le vendredi 29 novembre 2019 à Ouagadougou, à l’hôtel Amiso. A cette occasion 3 journalistes ont vu leurs productions primées en Journalisme sensible aux Conflits. Souaibou Nombré, fut l’un des heureux lauréats de ce prix dans la catégorie presse en ligne, presse écrite. Dans cet article, vous découvrirez le parcours de ce lauréat et l’article qui lui a valu ce prix.   

NOMBRE Souhaibou est titulaire d’une licence en études anglophones ,option littérature et civilisation américaine, obtenu à l’université de Ouagadougou au Burkina Faso et du diplôme d’assistant en sciences et techniques de l’information et de la communication obtenu à l’Institut des sciences et techniques de l’information (ISTIC) toujours au Burkina Faso.

Depuis octobre 2010, il travaille aux Editions Sidwaya, le groupe de presse étatique. Il a servi successivement à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso d’octobre 2010 à août 2013 en tant que journaliste-reporter. Depuis août 2013, il occupe le poste de chef de service régional des Editions Sidwaya du Sahel basé à Dori.

A tête d’une équipe de correspondants basés dans chacune des quatre provinces de la région du Sahel burkinabè, sa mission est de coordonner la couverture médiatique des activités de cette partie du pays.

En neuf ans d’expérience, le journaliste-reporter NOMBRE Souaibou a participé à plusieurs formations notamment au Burkina Faso, Ghana, Cameroun, Kenya, en Angleterre, au Canada et aux États-Unis.

Il a recensement remporté le premier prix de sa carrière. Il s’agit du prix PaxSahel 2019 pour le Journalisme sensible aux conflits (JSC) initié par le Réseau d’initiatives de journalistes (RIJ) dans la catégorie presse écrite et en ligne. Le prix était composé d’un ordinateur, d’un enregistreur numérique (Dictaphone) et d’une somme de 500 000 F CFA.

Souhaibou Nombré

Le résumé de l’article:« Crise à Bani : La commune se meurt à petit feu » qui lui a valu ce prix.

«Aux lendemains des élections municipales du 22 mai 2016 dans la commune de Bani, une crise éclate à la suite motion de défiance à l’encontre du maire Youssoufa Bokoum porté à la tête de la mairie par la coalition MPP et PDS/Metba. Depuis mai 2017, la commune vit une crise de rebondissements. De la fermeture de la mairie en janvier 2018 au débrayage des agents en février 2019, en passant par la réouverture en octobre 2018, la crise impacte négativement les secteurs de la santé et de l’éducation entre autres. Les tentatives du maire de convoquer une session municipale pour voter un budget pour le fonctionnement de Bani ont été vaines. Il a même demandé l’accompagnement de la sécurité à cet effet aux autorités sans succès. Du coup, le maire et certains collaborateurs n’ont plus accès à la mairie qui n’a pas de budget, paralysant les activités socioéconomiques et professionnelles à Bani».

  Retrouvez l’intégralité de l’article grâce au lien: https://www.sidwaya.info/blog/2019/03/19/crise-a-bani-la-commune-se-meurt-a-petit-feu/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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