C’est une nouvelle loi qui fait des gorges chaudes. Surtout auprès des détenteurs du pouvoir politique traditionnel, dépossédés du pouvoir d’opérer les successions dans les villages de leur giron. Selon la nouvelle loi sur la chefferie traditionnelle, désormais seul l’État nigérien a le droit de désigner des chefs. Conséquence : les conflits autour des trônes se multiplient. Écoutez plutôt ce reportage de dans le département de Gaya.